lieutenante ou pas?

Si peu de chose nous sommes. Dieu nous as créer pourquoi? Pour son propre divertissement? Pour juste s'amuser à nous faire mourir? Mais enfin, qu'elle importance après tout. Seul quelque crétin qui croit en lui, qui on la foie, peuvent se posé ce genre de question. Moi je l'ai perdu depuis bien longtemps. Depuis mon arrivée ici si vous voulez le savoir. Combien de fois j'ai prié pour que tout redevienne normal? Combien de fois? Combien de demande qui sont pendant des année resté sans réponse? Tellement que même dans mon esprit, je ne peut tous les énumérer. Soupir. La vie est un voile de question auquel tu à beau chercher, les réponse ne sont jamais les bonnes. Pourquoi on rit, pourquoi on pleure? Pourquoi on vit, pourquoi on meure? En ce monde, chacun à sa place, mais qu'elle est la mienne?

Flic, Flac... Mais à quoi je pense? A quoi je rêve...? Du noir, et peu à peu de la muière qui apparît sous une forme ovale. Puis du rouge, une langue rapeuse sur ma joue. J'ouvris les yeux et vit ma nami chérie, un peu sourire au coin en train de faire ma... toilette?! Je me leva d'un bond, et me colla contre le mur. Ma respiration se calma, et je poussa un long, un très long soupir. Je revint vers mon lit et lui dit tout en lui caressant le haut du crâne:

-combien de fois dois-je te le dire Nami. Pas de toilette le matin. Du moins, pas comme ça. Je ne suis pas un animal

Ses oreilles se rabattirent piteusement et elle prit une mine dépité. Re-soupir. Elle savait toujours me faire craquer. Je la prit dans mes bras a son grand contentement et la déposa sur une table, amena du pain, le posa et la regarda manger. Je jeta un coup d'oeil à la fenêtre. Flic,flac... La pluie tombait continuellement depuis voilà bien deux jours. C'était déprimant. Mais j'avais l'impresssion que ma vie s'y reflétait, rien qu'un peu. Comme elle, je tombe. Je n'arrête pas de tomber, et puis à la fin, je m'écrase et je disparaît. Un voile de lassitude se dessina sur mon visage. Rien qu'une fois dans ma vie, il m'arrive de m'ennuyer. Nami arrêta son festin et s'avança. Je sentis sa patte sur ma joue et tourna la tête. Elle observait mon air inquiet. J'était un boulet, je ne méritais pas d'avoir quelqu'un pour m'aidé, comme Nami. Depuis mon arrivée dans ce monde, elle était ma seul, mon unique amie, elle l'as toujours été. Mais je ne sais rien faire d'autre que de l'inquiété. je ne la mérite pas....

-T'inquiète pas, je vais bien

Je souris malgrés tout, pour la rassuré. C'était d'ailleurs un succès. Elle alla sur le lit et se re-coucha. Moi, je prit une feuille de papier et un stylo. Dans des moments telle qu'elle, j'écrivais. C'était ma seul occupation:

Non... Pas de haine en moi. Juste la misère qui s'accroche à mes pas, la fièvre et parfois le dégoût. Mais me croirais-tu? Ce sang qui me souille les bras, même si un fleuve coulait dans mes veines, il ne pourrait laver tant de boue.

Voyez, ce n'est pas très gaie. Mais mon opinion est surement différent du votre. Je sentis presque les larmes me monter au yeux. Pourquoi fallait-il que je pleure? J'avais, bien que je ne voulais pas le montrer, le coeur presque déchiré, blessé. Je suis misérable, voilà comment je me voyais. Et tant les larmes montèrent, tant mon coeur se serra, tant j'appelais au plus profond de mon être... de l'aide...