[Inachevé] Un cambriolage pas très discret. (rp avec Morganne)

Après s'être enfuit du laboratoire du savant Grocugras, Elizabeth et King se retrouvent sans foyer où dormir, sans famille et surtout sans argent. Le manque d'argent leur est fatal, car sans ce précieux vivre, ils ne peuvent se vêtir, se loger et se nourrir. Un soir de pleine lune, l'atmosphère devînt tellement glaciale que c'était impossible de rester dehors avec tous ces vents qui se déchaînaient. Les deux amis avaient beau toquer à toutes les portes des chaumières de la ville, mais soit les citoyens dormaient, soit ils refermaient leur porte en voyant les têtes de deux fous sur leur palier, qui demandaient leur hospitalité. Découragés, les deux compères allèrent se réfugier vers les bennes à ordures, leur lieu de repère... Mais ils passèrent devant les portes du palais, grandes et majestueuses, tout le contraire de ce qu'ils étaient. Elizabeth savait que le palais foisonnait d'objets de valeurs. Elle décida de comploter un cambriolage "ni vu ni connu" avec le lion. Elle s'équipa d'un petit sac noir et mit un masque noir avec deux trous pour les yeux mais qui était deux fois trop grand pour son visage. Elle grimpa aux branches d'un arbre près d'une fenêtre du palais et, sans réfléchir, elle la brisa en mille morceau en lançant une énorme pierre contre la vitre. Le bruit de fracas fut énorme et réveilla le voisinage adjacent. La Tarée entra ensuite a toute allure dans le palais sans ce soucier du bruit très indiscret qu'elle avait commis. Gink, était sur ses talons, imitât son action, mais la fenêtre était trop étroite pour qu'il puisse passer... Il resta donc coincé dans l'ouverture. Pendant ce temps, sa complice courrait loin devant sans se soucier de son ami. Elle ne vit pas beaucoup de bibelots inutiles, comme elle aimait. Cependant, elle écarquilla les yeux en voyant une magnifique commode, en ébène et avec des morceaux d'ivoire. Elle voulut emporter uns des trois tiroirs de cette commode. Manquant cruellement de logique, elle essaya par tout les moyens de faire rentrer ce tiroir dans son sac minuscule. Comme d'habitude, elle fit un vacarme épouvantable. Idem, pour Gink, qui rugissait comme un sauvage et se débattait de toutes ses forces pour sortir de la fenêtre. Sans qu'il sans rendent comptes, des pas s'approchèrent progressivement vers eux.
(Rp presque fini, dsl pour les phrases qui sont maladroites ou bourrées de fautes d'orthographe)

[Je peux effacer vos messages de flood ?]

Morgane et Murmure se trouvaient devant les portes de la ville. Ils étaient un peu perplexes devant l'imposant édifice qui tenait lieu d'entrée. Ils étaient aussi éffrayés à l'idée de se retrouver dans Ewalhin. Leur pire cauchemar. L'argent donné par leur oncla avait fini par être liquidé et ils se retrouvaient sans rien. Et la faim comencait à se faire ressentir. Les petites baies et les fruits qu'ils trouvaient sur leur chemin ne suffisait pas