[Fini] La trahison se prépare et se savoure... [PV: Doubhé]

Fleur Rouge était assis sur un tabouret devant un bar. Le bois était couvert de cercles laissées par des verres et d'éraflures en tous genre. Il tenait à sa main un verre d'une boisson gazeuse. Depuis sa soirée avec Amalia, il évitait l'alcool. Il se trouvait dans un petit bar mal famé dans la banlieue d'Ewalhin. Une épaisse fumée emplissait la pièce ainsi que des effluves de boissons. L'homme fronça le nez, il ne supportait pas ces odeurs. Dans un coin de la pièce se trouvait un homme soûl ronflant bruyamment. Il regarda autour de lui. Il y avait pas beaucoup de monde dans cette endroit mal fréquenté, juste trois hommes jouant au poker dans un coin et une femme draguant une personne qui semblait beaucoup apprécier cela. Encore une fois, Fleur Rouge se décida à partir. Cela faisait une demi heure qu'il attendait un contact qui devait lui donner des informations sur les représentantes. Tous ses sens lui priait de quitter cette endroit, mais il ne pouvait se résoudre à abandonner. Il avait dû se battre pour trouver l'homme, et payer une grosse somme d'argent pour qu'il accepte de travailler pour lui discrètement. Il était vrai que ce travail était difficile, il devait se cacher et des honnêtes gens et des malfrats au services de Heater, la femme appréciant certainement peu qu'il travaille dans son cas pour son compte. En tout cas, il n'allait pas le lui demander. Il regarda autour de lui. Décidément, il n'était pas là, cela ne servait à rien d'attendre plus longtemps. Il sortit son porte monnaie pour le ranger immédiatement. Un groupe d'homme était entré dans le bar. Trois garçons d'une vingtaines d'années aux visages couturés de cicatrice. Le premier des trois, certainement le chef, tenait à la main à couteau e jouait avec. Fleur Rouge sonda rapidement les deux autres. Ils ne semblait armés que de lames en tout genre. Il fut rassuré en sentant son revolver contre lui. Il était loin d'être peureux, mais il apprécia beaucoup avoir une arme capable de le mettre hors d'usage avant qu'ils ne puisse réagir. Il héla le barman.

C'est qui?
Des bons clients. Je te déconseilles de les approcher, pas avant de m'avoir payé en tout cas.

Ils ont conclu que c'était des tueurs à gage qui travaillait dans le coin. Une seconde lui suffit à comprendre qu'ils ne faisait pas partis de la mafia de Heater. Ce n'était pas de bons assassins, rien qu'à voir leur façon de se comporter il pouvait le savoir. Jamais la femme n'aurait embauché des personne qui avaient écrit MALFRAT sur le front. Même Vladimir avec sa faux aurait eu l'air plus discret. Les trois étaient maintenant attablés au bar à quelques tabourets de lui. Une jeune femme entra à son tour dans le bar. Elle était brune et fine. Il la détailla du regard. Elle avait les yeux bruns et un visage déterminé. Elle était accompagnée d'un lion à la fourrure brune. Fleur Rouge se demanda ce qu'une fille comme cela faisait ici. Visiblement pas boire un verre. Il continua à l'observer, intrigué.


[je l'ai commencé sinon Piu allait finir par mourir d'impatience pour son rp ^^ répond quand tu peux]

- Doubhée ! Regarde !
- Quoi ?
Doubhée fixa le point indiquer par Pola : un modeste bar au coin d'une rue.
- Pas vraiment l'endroit pour trouvé du travail !
- Bah... On peut toujours tenté !...
Mais Doubhée resté sarcastique. Elle voulait pour une fois un vraie travail. Pas un p'tit meurtre bonus qui se fait en deux secondes. Sa journée s'était mal passé depuis six heure du mat'. Elle s'était réveiller en constatent désagréablement que ses cornflakes préférés était vides. Elle avait alors bu une tasse de café et une tranche de pain. Une tranche de pain, vous vous rendez compte ? La pire chose au monde, et Pola n'avait rien d'autre à faire que de rire bêtement. Une bonne droite l'avait tenté.
Sans grand enthousiasme, Doubhée poussa la porte de bar du revers de la main. Aujourd'hui, elle s'était habillé d'une jolie robe volée, une robe verte foncée. Pola n'avait rien de spéciale sauf le fait, que l'on lui avait blanchi ses dents acérées, au risque de se faire déchiqueter. Mais quand Pola avait vu le résultat, elle en avait oublier sa haine et sa vengeance. Dans le bar, trois jeunes hommes avec sur le front : MALFRAT, inscrit avec une jolie couleur tortueuse. Doubhée aimait décrire les gens en leur imaginant les mots propices sur le front. Sur une chaise, près du barman, un homme était assis. À ses pieds, un joli chat noir. L'homme était brun, comme elle. Ses yeux était verts. Les autres hommes commençait à se retourner vers elle et lui lancèrent des regards charmeurs, dont elle restait insensible. Elle avait l'habitude d'être au centre de l'attention. Mais elle restait toutefois un peu gênée. Elle alla s’asseoir à côté de l'homme qu'elle venait d'étudier et entama la conversation :
- Salut.

(vlad>> ma psy préférée! ^^merci mais t'inquiète ça va un peu mieux et écrire va m'aider je pense
anaël>> ca veut dire quoi que tu vois pas FR avec une fille??? attention tu va le vexer là! par contre de là à ce marier... c'est impossible! par contre être le petit ami le moins fidèle de l'histoire, ça, il peut.
doubhé>> si c'est vrai, il y a déjà les deux pieds dans sa tombe ^^ va te planquer FR! lol)

La nouvelle venue portait une jolie robe verte qui lui allait très bien. Fleur Rouge remarqua qu'elle avait de magnifiques yeux verts. Il aimait beaucoup regarder les yeux des jeune filles, plonger dedans pour tenter de deviner qui elles étaient. Il fut joyeusement surpris de la voir s’asseoir à coté de lui. Ses derniers échecs en matière de séduction avait un tout petit peu entamé sa fierté bien grande pourtant.

- Salut.
-Bonjour. Que fait une demoiselle comme vous dans un endroit comme ici?

Il embrassa la pièce d'un geste. Les trois hommes regardait la femme d'une manière que Fleur Rouge n'appréciait vraiment pas. L'un d'eux, le meneur certainement, s'approcha avec un regard qui on disait long. Étrangement, le bar se vida de ses occupants, certainement habitués aux bagarres.

Alors, c'est combien?

Il ne fallut qu'une seconde à Fleur Rouge pour comprendre, et une autre pour prendre sa décision. Il se leva et envoya un coup de poing dans la mâchoire de l'homme qui recula de plusieurs pas. Un sourire sadique s'esquissa sur le visage du mafieux.

Tu en veux un autre?
Fils de p***, tu la défend bien ta sal**e!
On ne parle pas comme ça d'une jeune fille.

Il lui donna un coup de pied dans le ventre et le malfrat se plia en deux. Fleur Rouge en profita pour lui glisser à l'oreille:

Et encore moins de moi.

Il l'acheva d'un coup de genou dans le visage et le voyou tomba à la renverse, certainement assommé. Ses deux amis approchèrent, menaçants et armés de canifs. L'un d'eux plongea en avant avec sa lame et Fleur Rouge ne put l'éviter tout à fait. Une longue estafilade courrait le long de son bras à présent. Le mafieux se rendant compte qu'il était au mauvaise position, il faut quelque chose qu'il aurait préféré éviter. Ou peut être pas. Il sortit son arme et le braqua sur le plus proche de ses ennemis.

La partie est finie mon ami.

L'autre homme tenta de s'enfuir. Sans une seule seconde d'hésitation, il tira. L'homme s'écroula au sol, son T-shirt rougi.

Tu veux rejoindre ton copain?
No...non.

Il tremblait et Fleur Rouge sourit.

On fait pas ce qu'on veut dans la vie. Dan la mort non plus.

Il ri devant le visage blanc de son ennemi. Et le tua sans perdre plus de temps. Un petit trou rouge se trouvait sur son front maintenant.

Pile dans le troisième oeil, je m'améliore en tir moi.

Il se pencha sur le cadavre et déchira un lambeau de son t-shirt. Il sans fit un pansement pour sa blessure, heureusement superficiel. Il prit une fleur dans sa poche. Il en avait toujours 'au cas où'. Il allait améliorer sa réputation. Il plongea la fleur dans le sang de sa victime la plus proche et la déposa au milieu des cadavres.

Qu'es ce qu'on fait du dernier?
Il a eu suffisamment peur, il dira rien.

Il se tourna vers le barman.

Tu n'a pas vu mon visage n'est ce pas? Tu ne sait rien d'autre que cela: tu étais derrière et tu n'ai pas venu parce que tu avais peur. Et si le gars se réveille, dit lui de fermer son clapet s'il veut rester en vie. Ca vaut pour toi aussi.

L'homme hocha de la tête, terrifié.

C'était le fun n'est ce pas Anarchy?

Pour toute réponse, la chatte indiqua un coin du bar de la queue. Fleur Rouge se retourna.

Ah.

Tout au plaisir de la bagarre et trop heureux de se défouler après sa longue attente, il avait complètement oublié la jeune fille.

Occupe toi d'elle Fleur Rouge.
Attends...
Non, c'est trop dangeureux.
Je m'amuse un peu avant! Personne ne va venir de toutes facons.
Et si on nous a entendus?
Ici, les coups de feux c'est monnaie courante, personne ne va appeler les flics.

Il se tourna vers la jeune fille, l'arme abaissée mais prêt à tirer.

Je n’apprécie pas qu'on insulte une belle femme.

Il lui fit un sourire charmeur en fixant les beaux traits de Doubhé. Définitivement, ce serait dommage de perdre ça. Mais il l'avais dit lui même, on ne fait pas ce qu'on veut dans la vie. Mais il allait quand même s'amuser un peu avec sa proie. Et puis après tout, elle allait peut être lui offrir une garantie valable de ne pas révéler son secret.

On ne s'est pas présentés. Je suis Fleur Rouge et voici Anarchy.

Il indiqua la chatte de sa main libre. Celle-ci était un peu bougonne, mais avait aussi envie de s'amuser. Elle sauta sur le bar et s'assit juste à coté de la tête, ses griffes de nacres crissant sur le meuble.

Et vous, qu'elle est votre nom? Et que faîtes vous ici, si ce n'est pas indiscret?

Il s'était assis en face d'elle et la regardait sans gène aucun.

[ouha! j'ai écrit un roman finalement ^^ ca fait du bien de taper sur des gens qui n'existent pas ^^)

Après que le dernier homme tomba à terre, mort, Doubhée put enfin détourner son regards de l'homme qui l'avait défendu, même si elle aurait put le faire elle-même. Autours d'eux, seuls les trois gars, à terre, et le barman étaient présents. Les autres gens avait disparût alors que la "bataille" n'avait même pas encore commencé. Elle commençait à l'apprécier, cet homme. Un homme qui, comme elle, n'a pas peur du sang ni du meurtre. Qui y prends même plaisir... Le type rêvé pour une fille comme elle, quoi ! Mais cela ne suffisait pas à Doubhée pour tomber amoureuse, ni même pour pouvoir éprouvé quelconques sentiment profond. Elle venait juste d'entamer la conversation et il avait à peine répondu qu'il s'était déjà lancé dans la bagarre ! À présent, il menaçait le barman, et espérait sûrement pouvoir lui imposée le silence, à elle aussi. Mais elle savait que trop bien que cela était inutile ! Elle-même doit menacer les gens qui l'ont vus commettre un meurtre quelconque ! Il vint après vers elle et lui annonça, ce qu'elle savait déjà :
« - Je n’apprécie pas qu'on insulte une belle femme. »
Dragueur, en plus. Négatif, il faudrait qu'il se décide rapidement à arrêter cette mauvaise habitude. Mais cela plaisait pour une fois à Doubhée. Et, bizarrement, Pola ronronnait. Elle ne l'avait pas fait depuis des siècles ! Bon, d'accord, elle exagérait, mais tout de même, depuis près de quinze ans ! Il ajouta :
« - On ne s'est pas présentés. Je suis Fleur Rouge et voici Anarchy. »
Fleur Rouge... Plutôt bizarre. Doubhée fit part de ses commentaires à Pola qui hocha la tête, en signe d'approbation. Anarchy était plutôt jolie, pour une chatte, bien sûr. Elle s'imaginait mal une fille s'appelant Anarchy !
« - Et vous, qu'elle est votre nom ? Et que faîtes vous ici, si ce n'est pas indiscret ?
- Je suis Doubhée et ma lionne s'appelle Pola. »
Doubhée ne continua pas, elle ne voulait pas faire sauté sa couverture. Elle n'aimait pas être dévoilé, encore moins sur sa personnalité. Mais avec son fort caractère, elle ne pouvais rien faire que d'être orgueilleuse. Elle chercha le regard de l'homme et y découvrit un air joueur. Elle le regarda étonné, mais insistante, pour qu'il continu à parler avec sa voix enivrante.

Fleur Rouge remarqua tout de suite que la femme ne semblait ni effrayée ni mécontente. Elle n'était pas une fille ordinaire, et heureusement. La lionne ronronna. L'homme fut heureux, elles n'étaient pas insensibles à son charme.

Je suis Doubhée et ma lionne s'appelle Pola.

Elle s’arrêta là et Fleur Rouge en fut frustré. Apparemment, il ne lui avait pas fait suffisamment peur pour qu'elle réponde à ses questions.Mais d'un autre coté, son silence la rendait plus intéressante. Il commença à sérieusement à penser qu'il allait la laisser en vie un peu plus longtemps que prévu. Il entrevu même une aventure avec elle comme un possibilité. Cette Doubhée ne le laissait définitivement pas indifférente. Il appela le barman, qui ne semblait pas s'être calmé, d'un geste de la main.

Deux cocktails.

Il ne prit pas la peine d'ajouter "s'il vous plait", que cela lui plaise où non, il avait intérêt à obéir. Ce qu'il fi en s'empressant. Fleur Rouge prit son verre de la main, la droite toujours occupée par son arme. Il n'était pas du genre à baisser la garde aussi rapidement. Et puis, ça l'amusait de bien lui montrait qu'il était en position de force.

Il y a de l'animation ici, j'aime ça, pas vous?

Si elle ne voulait pas révéler la raison de sa présence, elle allait quand même répondre à une question aussi innocente. Enfin il espérait. Le silence, c'est drôle, mais ça devient rapidement énervant. Et vu la patience de Fleur Rouge, rapidement voulait dire quelques minutes.

[Indifférente, t'es sûr ? MDRR' ]

Lorsque l'homme, Fleur Rouge, invita le barman avec la main à leur servir deux cocktails. Doubhée profita de l'instant pour inspecter la pièce. Elle était abîmé, le sang écarlate, encore frais, étalé sur le sol. Les tables était petites et ronde, parfois longues et carrés, prévues pour les jeux. Les chaises était normales, abîmé, humides. Un vrai vrac, ici ! Elle était fermement décidée de partir d'ici le plus vite possible. Lorsque le barman vint enfin leur ramener leurs deux cocktails, Doubhée le but de deux traites longues et saccadées.
« - Il y a de l'animation ici, j'aime ça, pas vous ?
- Mmh... Le problème est qu'il n'y a pas un chat, ici. Et que c'est miteux. »
Elle aurait aimé lui proposé de partir d'ici, mais ne trouva pas la force nécessaire. À la place, elle lui annonça d'une voix faussement fière, en le traitant en même temps de non-meurtrier. Ridicule mais vrai
« - Pour répondre à ta question d'avant, je suis une meurtrière, une voleuse qui fait le boulot des autres. Mais je déteste la Mafia. Surtout Heather. Notre rêve, à Pola et moi, est de crée une sorte de mafia à nous. Elle s'appellerait la Guilde. Mais je n'ai aucun recrutement. Le fait que je suis ici, c'est de chercher du boulot, enfin... Pola voulait venir ici, moi, j'était persuadé que y aurais pas d'boulot et j'avait raison. À la place du boulot, j'ai eu droit au meurtre le plus passionnant du jour !
Il en resta bouche-bée. Je le comprends, une fille comme ça, l'air fragile mais meurtrière, c'est quasiment impensable.

- Mmh... Le problème est qu'il n'y a pas un chat, ici. Et que c'est miteux.

Fleur Rouge comprit tout de suite qu'elle voulait partir. Le problème était qu'il n'était pas encore sûr qu'elle n'allait pas se jeter sur le premier policier venu pour le dénoncer. Il fit donc semblant de ne pas comprendre.

Pour répondre à ta question d'avant, je suis une meurtrière, une voleuse qui fait le boulot des autres. Mais je déteste la Mafia. Surtout Heather. Notre rêve, à Pola et moi, est de crée une sorte de mafia à nous. Elle s'appellerait la Guilde. Mais je n'ai aucun recrutement. Le fait que je suis ici, c'est de chercher du boulot, enfin... Pola voulait venir ici, moi, j'était persuadé que y aurais pas d'boulot et j'avait raison. À la place du boulot, j'ai eu droit au meurtre le plus passionnant du jour !

Il fut très étonné. Il s'étai bien doué qu'elle n'était pas aussi innocente qu'elle ne le paraissait pour venir dans un endroit tel que celui-ci, mais de là à penser ça! Il réfléchit longuement sur ses propos.

Tu en pense quoi Anarchy?
Ça pourrai être pas mal, mais je suis pas sûre que cette fille sache faire quoi que se soit. Elle peut t'avoir complètement baratiné.
Pas faux. Mais on peut au moins vérifier si c'est une vrai tueuse.
Tu veux lui demander de raconter un de ses meurtre?
Non, j'ai une idée plus courte. Et plus... drôle.

Il reporta son attention sur Doubhée et dit avec un sourire:

Tu te dis meurtrière? Prouve le.

Il lui donna un couteau et indiqua le corps du malfrat assommé.

Ça devrai pas te poser de problèmes de conscience n'est ce pas? J'aimerai juste être sûr de ce que tu dis. Parce que tu vois, je n'aime pas la mafia et Heater non plus. Alors, si tu es vraiment ce que tu dis être, je pourrai peut être t'aider.

Ah Fleur Rouge, toujours aussi galant.

Il sourit à Anarchy.

Après cette explication, Fleur Rouge parut déconcerter, étonné. Comme elle l'avait prévu.
Tu pense qu'il fera quoi ?
Peut-être ne me croit-il pas. Il voudrat sûrement une preuve. Ou bien il croit, et il est assez bête de me croire sur parole.
On va bien voir !
L'homme lui sourit et annonça d'une voix un peu amusé :
« - Tu te dis meurtrière ? Prouve-le !
Il lui tend un couteau, et désigna le malfrat assommé.
- Ça devrai pas te poser de problèmes de conscience n'est-ce-pas ? J'aimerai juste être sûr de ce que tu dis. Parce que tu vois, je n'aime pas la mafia et Heater non plus. Alors, si tu es vraiment ce que tu dis être, je pourrai peut être t'aider. »
Elle refusa catégoriquement le couteau en lui disant qu'elle avait son poignard à elle. Comme elle l'avait prévu, il voulait des preuves, une preuve. Ce meurtre était décidément trop facile. Tuer un être assommé. Il la prenez pour une débutante, ou quoi ? Elle allait lui montrer ce que savait faire une « débutante » comme elle ! Au lieu de faire faire ce qu'il demandait, elle sortit du bar et demanda à un passant d'entrer. C'est sûr, ce passant était définitivement trop naïf, sans comprendre que la mort allait le prendre ! Il entra sans poser la moindre question. Doubhée prit son poignard et le cacha derrière son dos. Le passant ne se doutait toujours de rien. Elle avança à pas lents et mesurés. Toujours aucune réaction. Elle fit un pas de plus. Rien. Doubhée se pencha alors vers lui et lui souffla :
« - Ne t'es-tu encore jamais demandé comment était la mort ? Non ? Eh bien tu vas le savoir bientôt. »
Elle avança son poignard, jusque-là derrère son dos, sur le cou de la victime, qui n'eut pas le temps de dire parole. Elle l'enfonça dans la chair, le passant tomba à terre, il fut pris de dernières convulsions et mourut. Le sang ne giclait pas de partout, juste un mince filer de sang sortait de sa gorge. Elle, elle savait au moins faire un meurtre propre.

Elle refusa son couteau et sortit un poignard. Si ça lui chantait. Mais au lieu de se diriger vers l'homme, elle alla vers la pore. Aussitôt Fleur Rouge pointa son pistolet sur elle mais la laissa avancer. Elle semblait avoir une idée derrière la tête. Mais un idée sur quoi? Toute la question était là. Mais étrangement, il lui faisait confiance, enfin sur un point: elle ne le vendrait pas au premier passant. Un homme entra dans le bar, invité par Doubhée.

Mais qu'est ce qu'elle fout? Elle veux rameuter tout le quartier ou quoi?
Laisse Anarchy, je pense qu'elle sait ce qu'elle fait.

L'homme retomba au sol, du sang coulant de son cou. Un meurtre propre, même s'il n'était pas drôle. Fleur Rouge se leva mais Anarchy fut la première à rejoindre la jeune femme.

Mais qu'est ce qui te prend cervelle de moineau! Tu pense pas que quelqu'un va finir par réagir s'il y a des personnes qui rentrent et aucune qui ressort ?
Anarchy! Ferme la.

Il lui jea un regard noir. Mais qu'est ce qu'il lui prenait à perdre son sang froid?

Je te crois. On pourrait peut être trouver un endroit plus tranquille pour discuter?

Il indiqua la porte de la main. Anarchy avait raison, l'endroit n'était plus sûr, déjà qu'il ne l'était pas beaucoup au début.

L'homme s'avança vers moi. Mais sa chatte avait pris le dessus, elle me lança avec un ton froid :
- Mais qu'est ce qui te prend cervelle de moineau ! Tu pense pas que quelqu'un va finir par réagir s'il y a des personnes qui rentrent et aucune qui ressort ?
- Anarchy ! Ferme-la.
- Ne vous inquiétez pas. Je me suis assuré que personne ne l'a vu entré.
Mes paroles n'avait pas vraiment fonctionner, car Fleur Rouge annonça d'une voix clair :
- Je te crois. On pourrait peut être trouver un endroit plus tranquille pour discuter ?
- Oui, bien sûr. J'habite pas loin d'ici. On y va ?
Fleur Rouge hocha la tête d'un signe approbateur. Pola et moi sortirent et nous nous dirigeâmes vers notre maison. Nous longeâmes plusieurs ruelle avant de débarquer devant une belle façade blanche, lumineuse. Elle était claire, mais fabuleuse. Je lui annonça :
- Nous y voilà. Entrez.
Je les invita de la main, et nous entrâmes.

- Oui, bien sûr. J'habite pas loin d'ici. On y va ?

Il hocha de la tête. Cela lui permettrait d'en savoir plus sur elle. Il la suivit après avoir un jeté un dernier regard menaçant au barman. Après avoir un peu marché, ils se retrouvèrent devant une belle maison blanche.

Apparemment être chef, même d'un début d'organisation, ça rapporte.
Si on avait que ça à faire, on pourrait le faire.

- Nous y voilà. Entrez.

Ce qu'il fit. Fleur Rouge fut impressionné par la décoration, elle avait du goût. Ils arrivèrent au salon et il s'assit, Anarchy sur les genoux.

C'est joli chez toi.

Il planta ses yeux dans les siens pour continuer. Mais au lieu de parler d'un ton sûr comme il en avait l'habitude, il resta silencieux une seconde, troublé. Il reprit de l'assurance et dit:

Alors, comment s’appelle ton organisation?

Lorsque Doubhée et les autres entrèrent dans sa maison, les deux invités s'assirent et Fleur Rouge lança :
- C'est joli, chez toi.
Il plongea ses yeux dans ceux de Doubhée et reprit après un moment :
- Alors, comment s’appelle ton organisation?
- J'ai dit que nous rêvions d'avoir une organisation, Pola & moi. Pas que nous l'avions, dit-elle, gênée, si nous réussissions à avoir assez de recrus, elle s'appellerais la Guilde. Joli, hein ? Mais ça serais pas que pour assassins, aussi pour voleurs.
Elle se sentaient mal à l'aise devant lui. C'était un sentiment nouveau & inconnu. Jamais elle aurait dit ça à un étranger. Un étranger. Elle voulait savoir plus de lui. Toute sa vie. Elle voulait être avec lui.
- Parlez-moi de vous.
Elle attendait la réponse avec une impatiente, tel qu'elle avait peur qu'on l'entrevoit.
Mais qu'est-ce qui te prends, Doubhée ?
Je sais pas. Je suis juste curieuse. T'inquiète.
Justement, c'est ça ce qui m'inquiète ! Tu n'a JAMAIS été curieuse de toute notre vie !
Bon OK, j'avoue. Ca cloche quelque part. Mais on verra bien !

- J'ai dit que nous rêvions d'avoir une organisation, Pola & moi. Pas que nous l'avions, dit-elle, gênée, si nous réussissions à avoir assez de recrus, elle s'appellerais la Guilde. Joli, hein ? Mais ça serais pas que pour assassins, aussi pour voleurs.

Tu vois ils servent rien!
Anarchy, s'il te plait.

La chatte la regarda, étonnée. Mais qu'est ce qu'il lui prenait? Mais elle ne dit rien.

- Parlez-moi de vous.

Anarchy eut un sourire amusé. Mais qu'elle naïve! Elle croyait quoi, que Fleur Rouge allait lui raconter sa vie comme ça?

Je n'aime pas parler de moi.

Finalement, elle s'était trompé, il n'était pas bizarre. Enfin si, il y avai quelque d'étrange, il ne lui avait pas mentit. Peut être n'avait il pas d'inspiration pour s'inventer une vie.

Mais si tu y tiens. J'ai 26 ans, j'habite dans un appartement non loin de la Place centrale et ...

Fleur Rouge!

Je suis tuer à gage. Et voleur.

Ben quoi, tu croyais que j'allais dire que je travaillais pour Heater? J'ai une fierté, je vais pas lui dire que je dois obéir à cette chienne!

La chatte se contenta d'un regard noir.

Et toi?

Je te rappelle qu'on est là pour voir si elle peut être utile, tu t'amusera plus tard!
Fait moi confiance.

[DSL DSL DSL, Internet n'était plus là ! :S]

« - Je n'aime pas parler de moi. »
Doubhée était déçut, elle aurait aimé en entendre plus. Cet homme l'attirait, décidément...
DOUBHÉE !
La jeune fille l'ignora. Cela lui était complètement égale. Tout ça, toute cette conversation, pour ça ? Ça n'allait pas. Non, ça n'allait décidément pas du tout. En pensant à ces chose, elle regardais pensivement les photographie accrochées au mur. Des photos d'elle et de sa famille, donc ces parents. La mélancolie qu'elle devrait ressentir n'arriva pas, elle n'était pas triste. Subitement, aussi imprévisiblement, Fleur Rouge lui annonça :
« - Mais si tu y tiens. J'ai 26 ans, j'habite dans un appartement non loin de la Place centrale et ...
La chatte l’interrompu dans une parole silencieuse pour Doubhée, mais Fleur Rouge ne se laissa pas démonter, au grand plaisir de la jeune fille.
- Je suis tueur à gages. Et voleur. »
Doubhée vit que Anarchy était contrariée, mécontente. Mais Pola, s'il le fallait, allait bientôt lui faire changer d'avis.
« - Et toi ?
- Euh, moi ? Alors, c'est que... j'ai 21 ans, j'habite, euuh, ici... Et... baah... je suis aussi tueuse à gages et volleuse. »
Elle était gênée et ne savait pas trop quoi dire devant lui. Mais retrouva la force pour prononcer une parole avant que...
DOUBHÉE ! Je te crie dessus depuis un moment déjà. Mais qu'est-ce qui te prends, tu veux tout ruiner, c'est ça ?! Ecoute-moi bien, nous ne lui racontons pas tout, c'est bien clair ?! Et...
Je t'en prie, tais-toi, Pola et contentes-toi du fait que tu auras le droit de jouer avec Anarchy... *rire sadique*
Pola sourit... Elle retrouva sa bonne humeur.
Alors, on en étions nous ? Ah oui ! Elle repris cette force que Pola lui avait gâcher pour prononcer :
« - Pourquoi me demandes-tu ces choses ? Pourquoi ne pas partir et me laisser seule ? Je vois bien à l'œil nu qu'Anarchy ne veut pas rester ici... »

(youpi!!! trop contente que tu sois revenue!!!)

- Euh, moi ? Alors, c'est que... j'ai 21 ans, j'habite, euuh, ici... Et... baah... je suis aussi tueuse à gages et volleuse. »

Elle semblait manquer d'assurance pour une future meneuse d'une organisation criminel. Mais cela s’apprenait, et avec quelqu'un qui ne se laissait pas marcher sur les pieds à ses cotés, elle pourrait réussir.

« - Pourquoi me demandes-tu ces choses ? Pourquoi ne pas partir et me laisser seule ? Je vois bien à l'œil nu qu'Anarchy ne veut pas rester ici... »

Fleur Rouge sourit.

"Tu vois, je n'ai pas pour habitude de laisser des témoins derrière moi ans être sûr d'eux, même des témoins très sympathiques. Et je vous trouve, ainsi que votre idée, très intéressantes."

Il réfléchit quelques instants. Il allait demander son avis à Anarchy puis réalisa qu'il le savait déjà.

"Je vais vous aider. Je connais pas mal de gens du milieu, qui se lierons à vous si je leur demande avec toute ma force de persuasion. Mais à quelques conditions: je veux être ton bras droit, tu doit me respecter évidemment..."

En effet, c'était le grade le meilleur qu'il puisse demander, ainsi en cas de problème il pourrait filer facilement, et il n'aurait à répondre qu'à elle.

"Et tu acceptes un dîner avec moi. "

Il lui fit un clin d'oeil tendis qu'Anarchy crachait.

Tout doux mon amie.
Tu va encore te fourrer dans n'importe quoi.
Ne t'inquiètes pas, je ne vais pas perdre la tête.

Il se plongea dans ses yeux et un instant il se demanda s'il n'avait pas menti. Mais non, tout cela était ridicule. C'était lui qui contrôlait, toujours.

[ Ah OK ]

« - Tu vois, je n'ai pas pour habitude de laisser des témoins derrière moi ans être sûr d'eux, même des témoins très sympathiques. Et je vous trouve, ainsi que votre idée, très intéressantes. »
Et merde. Il l'a prenez pour un témoin. Ben il va voir celui-là ! Il va bien voir comment je vais lui botter le cul ! Après il vas partir pleurer chez sa mère qu'il reçoit pas de femme, bah il m'étonne ! Pfffffff...

« - Je vais vous aider. Je connais pas mal de gens du milieu, qui se lierons à vous si je leur demande avec toute ma force de persuasion. Mais à quelques conditions: je veux être ton bras droit, tu doit me respecter évidemment... »
Bah, là. J'ai bien l'impression qu'il va devoir courir, loin, très loin. Voyons voir si je peux pas un peu négocier...
Enfin ! Revoilà ma chère Doubhée ! Ouuf...
Eh oui, faut pas se laisser prendre. Pola, regarde, admire, et apprends...

« - Et tu acceptes un dîner avec moi. »
Alors là, c'était la meilleure. Il me vexe, et après il croit encore que je vais le laisser dîner avec moi ? Qu'il va au diable ! Pour faire bonne figure. Pola alla faire sonner le téléphone, secret de boulot ! Je m'excusa et alla décrocher :
« - Oui ? Oui, chéri. Ce soir et demain aussi ? Et bien d'accord ! Sans problème ! Ca me va à merveille ! Oui, chéri ! Reviens vite, hein ?! »
Je venais de faire semblant d'avoir un amant. Ca ma dégoûtait, mais bon...

Il vit qu'il l'avait vexée. Tant pis, il se rattraperai après. Ce qui comptait était que les choses soit claires. il remarqua que la lionne sortait de la pièce. Le téléphone sonna peu après, et il se demanda si ce n'était qu'une simple coïncidence. Doubhée se leva pour aller répondre et il la suivit des yeux.

« - Oui ? Oui, chéri. Ce soir et demain aussi ? Et bien d'accord ! Sans problème ! Ca me va à merveille ! Oui, chéri ! Reviens vite, hein ?! »

Encore plus drôle, un couple à briser, même si étrangement, cette nouvelle l'attrista un peu. A moins que cela ne soit qu'une mascarade, ce qui était possible aussi. Mais il n'avait strictement aucun moyen de le savoir. De toutes façons, cela allait être amusant. Elle revint s'asseoir et il lui sourit, faisant mine de ne pas avoir entendu sa conversation téléphonique. Si elle croyait qu'il allait lui donner la satisfaction de lui poser une question ou même de réagir, elle se fourrait le doigt dans l'oeil.

"Alors, que penses tu de ma proposition? Ce n'est que ta compagnie ne soit pas charmante, mais j'ai beaucoup de choses à faire."

Il savait qu'elle allait certainement s'énerver, mais il voulait la pousser dans ses derniers retranchements, l'obliger à répondre.

[ Bon, je vais faire une petite crise de colère, le foutre dehors, et le RP est fini. Tout le monde va croire que l'histoire et fini, mais ça va continuer parce que je... On verra bien ! ^^ ]

« - Alors, que penses tu de ma proposition? Ce n'est que ta compagnie ne soit pas charmante, mais j'ai beaucoup de choses à faire. »
Alors là, elle allait exploser. Elle le savait, elle réfléchit un moment comment lui répondre de façon poli.
« - Alors là, c'est la meilleure. Tu me propose de m'aider. Tu me propose un dîner. POURQUOI TU ME PROPOSE PAS JUSTE DE ME MARIER AVEC TOI ? SI TU LE VOUDRAIT, TU ME FOUTRAIT DANS TON LIT ! Alors, maintenant, OUSTE ! Dégage de ma maison tout de suite ! »
Elle sentait qu'elle voulait taper du pieds, comme elle le faisait dans le temps. Mais appela Pola, qui montra férocement les dents. Doubhée ne savait pas s'il avait peur, ou s'il voulait éviter qu'elle appelle carrément les flics, mais se leva lentement et parti avec Anarchy, qui avait bien l'air soulager de partir enfin d'ici. Peut-être que ce mec était aussi en colère, qui sait, et saura jamais ?

[ RP TERMINÉ ]