[Fini] Le choix [PV : Elisabeth]

[ça me fait penser à une chanson de Golman ce titre mdrr, bon okay, c'est pourri mais je savais pas quoi mettre xDD * Modifié *]

Vladimir ajusta pour la ixième fois le costume habillé du quel était affublé. Il s'y sentait mal. Ce n'était pas son genre, et il le sentait. Il aurait voulu déboutonné sa chemise et desserrer sa cravate, mais la fête au palais l'en empêchait ; tout le monde serait sur son trente-et-un et s'il voulait passer inaperçu il allait devoir s'y faire. Il avait troqué sont habituel manteau noir contre d’élégants vêtements, tout aussi sombre mais nettement plus sobre. D'un coup d'oeil critique, Akira lui assura qu'il était parfait, mais que s'il continuait à tripoter nerveusement sa cravate, il allait finir par la faire déteindre. Le contact passait un peu plus facilement depuis quelques temps.
Vladimir soupira, les costards n'étaient définitivement pas fait pour lui. Il se força tout de même à marcher jusqu’à la cours du château et inspecta les lieux : c'était bondé de monde, le brouhaha était incessants, presque insupportable. En effet, c'était l'anniversaire d'Ambre, la représentante de la Force. Or ce n'était pas le Représente qui l’intéressait, non, c'était sa lieutenante. Elisabeth Sanlejos. Elle était la seule à pouvoir la sortir de là. Il devait trouver un moyen de lui parler, et il savait qu'ici, il la trouverait. Il en était certain. Il devinait que les fêtes n'étaient pas exactement dans les idéaux de Sanlejos, mais celle-là, elle ne pouvait pas la rater, même en dépit de son caractère butté et inflexible.
Son anxiété grandie davantage lorsqu'il du se fondre dans la foule ; tous ces humains si proches, qui le touchaient ... Il frissonna. Il n'aimait décidément pas ça. Puis brusquement, un visage retint son attention : Sanlejos. Elle était là. Comme il aurait dû s'en douter, elle se tenait légèrement en retrait avec un air morose et agacé qui n'échappa pas à Vladimir. Il sourit. Comme il le pensait, elle ne devait pas aimer les fêtes. ça tombait bien, lui non plus.
Il se répéta nerveusement ce qu'il devait dire. La vérité c'est qu'il ne savait pas comment trouver les arguments justes pour l'empêcher de partir dès qu'elle le verrait. Il souffla, puis s'avança. Dans un premier temps elle ne sembla pas le remarquer, absorbé dans une contemplation inconnue. Puis son regard se posa sur lui et il sentit instinctivement la tension monter.

" Ne tire pas, lâcha-t-il instinctivement. D'abord parce que ce serait dommage de gâcher la fête d'Ambre, ensuite parce que je suis pas là pour te menacer. Je veux te proposer un autre marché. Je sais que le dernier à mal tourné, mais cette fois tu as tout à y gagner. Je ne suis pas armé, tu peux vérifié si ça t'amuse. On ... Pourrait discuter ailleurs ?

Il planta son regard dans celui de la lieutenante, il espérait qu'elle comprendrait l'urgence de la situation.

[Si c'est pas bien, je change hein x)]

(non c'est bon tkt c'est trop bien sauf le titre)

Elisabeth était à la fête de l'anniversaire d'Ambre, la représentante de la force. Cette dernière l'avait invitée en lui faisant clairement comprendre qu'elle voulait qu'elle soit là, et la lieutenante n'avait pas réussit à trouver une bonne excuse pour ne pas venir. Elle s'était donc résignée, et y était allé, en se disant que ce ne serait peut être pas si horrible que prévu. Preuve de sa bonne volonté, elle s'était même habillé avec élégance d'une robe noire et avait rangé son arme dans son sac, au lieux de le laisser à sa ceinture. Le fait de ne pas sentir le pistolet contre elle la mettait mal à l'aise, mais elle n'avait pas trop le choix. Elle était donc arrivée une demi-heure plus tôt et après avoir souhaité bon anniversaire à Ambre, s'était trouvé un coin légèrement en retrait. À présent elle surveillait les invités avec l'espoir de trouver un voleur ou un escroc, n'importe quoi qui puisse l'occuper. Mais tout semblait être mortellement calme. Elle ne pouvait pas s'empêcher de penser que pendant qu'elle perdait son temps là, tous les criminels de la ville se donnaient à coeur joie pour faire leurs méfaits en toute impunité. Elle poussa un long soupir et regarda sa montre un énième fois. Les aiguilles devaient avoir un problème, elles n’avançaient pas, Elisabeth avait même l'impression qu'elles tournaient à l'envers. Elle regarda de nouveau dans la foule. Rien d’intéressant. Sauf.... un homme venait d'arriver à coté d'elle. Il lui fallu un temps pour l'identifier, elle n'avait pas l'habitude de le voir en costume. Mais dès qu'elle le reconnu, elle se crispa. Vladimir.

" Ne tire pas, lâcha-t-il instinctivement. D'abord parce que ce serait dommage de gâcher la fête d'Ambre, ensuite parce que je suis pas là pour te menacer. Je veux te proposer un autre marché. Je sais que le dernier à mal tourné, mais cette fois tu as tout à y gagner. Je ne suis pas armé, tu peux vérifié si ça t'amuse. On ... Pourrait discuter ailleurs ?"

Elisabeth le regarda avec froideur. Elle n'avait pas vraiment besoin qu'en plus il vienne lui rappeler de mauvais souvenirs. Elle hésita, regarda autour d'eux, puis fini par répondre:

"D'accord, je veux bien t'écouter. Suis moi à distance."

Elle se fabriqua un sourire et partit en direction du bâtiment et tourna dans le premier couloir à droite. Elle trouva au bout une salle et entra. Elle découvrit un petit bureau sans occupants. Sans même réfléchir, elle ouvrit son sac et vérifia que son arme était bien dedans. Elle la prit et attendit Vladimir qui arriva juste après.

"Alors, que me veux tu? Angel est en sécurité à présent, elle a retrouvé son père."

Elisabeth lui jeta un regard glacial, mais Vladimir ne broncha pas.

"D'accord, je veux bien t'écouter. Suis moi à distance."

Sanlejos se dirigea vers le château, bifurqua dans un petit couloir sombre, puis le mena dans un bureau inoccupé. Le siens, peut-être. Il la vit sortir son revolver, de son sac et le pointer sur lui, mais n'en fut pas surpris ; il n'en attendait pas moins d'elle.

"Alors, que me veux tu? Angel est en sécurité à présent, elle a retrouvé son père."

Un fort malaise s'empara de lui. Il n'aimait pas cette situation, même si son plan se déroulait exactement comme il l'avait prévu. Il prit un légèrement inspiration.

- Je sais. Et ...

Il hésita, ne sachant par quoi commencé. Il baissa les yeux, embarrassé.

- Je ne suis plus le Grim Reaper, lâcha-t-il, et je ne veux plus jamais l'être. Je sais que j'ai fait des trucs monstrueux, et je sais aussi que je ne pourrait jamais me racheter, mais ... Je veux essayer. Quoi que je fasse je ne pourrais pas retourner en arrière, je pourrais pas réparer mes erreurs, mais je peux toujours changer mon futur. Si tu me tue ici, alors ça ne changera rien à ce qui a déjà été commis, mais si tu accepte mon marché, alors je peux peut-être sauver d'autres vie, même si ça ne fera pas ressusciter les autres. J'ai en ma possession des informations sur la Mafia que tu n'auras nulle part ailleurs, je suis prêt à faire n'importe quoi pour ... Que tu m'accepte dans tes rangs. Fait ce que tu veux de moi, mais ne me laisse pas en vie si tu refuses.

"Je sais. Et ... "

Il baissa les yeux. Cela troubla Elisabeth, comme ça il n'avait plus l'air dangereux.

" Je ne suis plus le Grim Reaper, lâcha-t-il, et je ne veux plus jamais l'être. Je sais que j'ai fait des trucs monstrueux, et je sais aussi que je ne pourrait jamais me racheter, mais ... Je veux essayer. Quoi que je fasse je ne pourrais pas retourner en arrière, je pourrais pas réparer mes erreurs, mais je peux toujours changer mon futur. Si tu me tue ici, alors ça ne changera rien à ce qui a déjà été commis, mais si tu accepte mon marché, alors je peux peut-être sauver d'autres vie, même si ça ne fera pas ressusciter les autres. J'ai en ma possession des informations sur la Mafia que tu n'auras nulle part ailleurs, je suis prêt à faire n'importe quoi pour ... Que tu m'accepte dans tes rangs. Fait ce que tu veux de moi, mais ne me laisse pas en vie si tu refuses."

Elisabeth en resta sans voix. Elle ne s'était pas attendu à ça. Elle aurait imaginé n'importe quoi mais pas ça. Elle l'avait laissé tomber au pire moment et elle l'avait plusieurs fois menacé de mort, mais il venait lui proposer son aide. Où pouvait donc être son intérêt? Se venger de la Mafia? Surement ça, après tout temps que l'organisation existait il se trouvait en danger de mort. C'était une raison suffisamment importante pour qu'il ne lui file pas dans les doigts au dernier moment. Mais avait elle besoin de lui? La réponse fut quasiment immédiate, oui. Il connaissait la Mafia, était intelligent et avait le sang froid nécessaire dans les situations périlleuses. Il ne restait qu'une seule question, une question dont elle n'avait pas la réponse:

"Tu es prêt à m'obéir? À m'obéir dans la seconde quand il le faut? Je te demandes pas d'oublier ta liberté, mais ne pas perdre du temps à réfléchir quand la situation est critique. Dans les cas où une seconde d'hésitation c'est la mort. Pour travailler avec moi, il faut avoir une confiance en moi absolue."

Elisabeth fut d'abord muette de stupéfaction, parut réfléchir, puis finir par répondre :

-Tu es prêt à m'obéir ? À m'obéir dans la seconde quand il le faut? Je te demandes pas d'oublier ta liberté, mais ne pas perdre du temps à réfléchir quand la situation est critique. Dans les cas où une seconde d'hésitation c'est la mort. Pour travailler avec moi, il faut avoir une confiance en moi absolue."

Il sourit légèrement.

- Je me demande aux quels de nous deux revient le plus cette question, lança-t-il quelque peu amer en se rappelant la situation dans laquelle elle l'avait mise lors de leur dernière entrevue. Je te fais confiance, mais qu'en est-il de toi ? Je ne peux pas faire confiance à quelqu'un qui doute de moi et qui cherche une mauvaise intention dans chacun de mes gestes. Et pour ce qui est de ma liberté, laisse-moi rire, ce mot n'existe pas quand on a bossé pour la Mafia. Tu pourrais me demander n'importe quoi que je serait déjà mille fois libre que là-bas. "

[C'est couuuuuurt et nul * NAAAAHH pas tapééé * désolé >.<]

(niiaaahh! tu va arrêter de dire ça? ah oui c'est vrai, je connais la réponse, je sais pas pourquoi je continue à demander ^^)

"Je me demande aux quels de nous deux revient le plus cette question. Je te fais confiance, mais qu'en est-il de toi ? Je ne peux pas faire confiance à quelqu'un qui doute de moi et qui cherche une mauvaise intention dans chacun de mes gestes. "

C'était là la question. Est ce qu'elle serait capable de lui faire confiance? Elle ne savait pas.

" Et pour ce qui est de ma liberté, laisse-moi rire, ce mot n'existe pas quand on a bossé pour la Mafia. Tu pourrais me demander n'importe quoi que je serait déjà mille fois libre que là-bas. "

Ça, elle s'en doutait déjà. Elle avait beau n'être pas toujours des plus gentilles avec les personnes qui travaillait avec elle, elle était toujours loin de la Mafia. Et elle ne le regrettait pas. Elle hésitait toujours. Est ce que c'était vraiment prudent de lui faire confiance? La réponse était évidente, non. Il avait beaucoup d’excellentes raisons de lui en vouloir. Mais son instinct lui disait le contraire. Et elle l'avait toujours suivi. Elle finit pas se décider. Elle rangea son arme dans son sac et lui déclara:

"C'est d'accord, je ne douterai pas de toi. Maintenant dis moi tout ce que tu sais sur la Mafia."

Vladimir vit le doute briller dans le regard d'Elisabeth. Il avait vu juste, elle ne savait pas si elle pouvait lui faire confiance. Elle rangea toute fois son arme dans son sac et Vladimir se détendit légèrement. Ce visé par le canon d'un revolver n'était jamais une expérience très agréable, même quand elle n'était là que significativement.

"C'est d'accord, je ne douterai pas de toi. Maintenant dis moi tout ce que tu sais sur la Mafia."

Je ne douterais pas de toi ... ça n'était pas un "Je te fais confiance", mais du moins, ça s'en rapprochait. De toute façon il comprenait, lui-même avait du mal à réalisé qu'ils étaient désormais définitivement dans le même camps, ses vieux instinct avait parfois tendance à l’inciter à la méfiance et il avait du mal à les faire taire. Mais il lui laissera le temps qu'il faudra, l'un comme l'autre en avaient besoins.
Il la trouvait fort rapide quant au sujet de la Mafia, et la soupçonna l'espace d'un instant de vouloir le tuer dès qu'il aurait livré toutes les informations dont il disposait, mais se rappela de ce qu'il venait de dire quelques secondes plus tôt. Il devait avoir confiance en elle. C'était peut-être plus difficile qu'il ne l'avait imaginé.

" Eh bien ... La chef de la Mafia s'appelle Heather Wells, 26 ans, les cheveux bruns et les yeux gris. Le vrai nom de Fleur Rouge est Genvia Alone, ses parents étaient sentinelles chez les Largardes, j'imagine que tu l'as compris. La Quartier Général de la Mafia ce trouve dans la banlieue, pas très loin de l'endroit de la dernière fois. Je peux te montrer où c'est mais ... Pour l'instant je ne crois pas que ça soit une bonne idée. Fleur Rouge a dénoncé ma trahison et je suis toujours recherché par la Mafia, je ne suis pas certain que me jeter dans la gueule du loup soit une très bonne idée. En tout cas c'est un vieux bâtiment désaffecté surveillé par deux vigiles qui ressemble plus à des clodos qu'a autre chose et hum ... Qu'est-ce que tu veux savoir exactement ?

" Eh bien ... La chef de la Mafia s'appelle Heather Wells, 26 ans, les cheveux bruns et les yeux gris. Le vrai nom de Fleur Rouge est Genvia Alone, ses parents étaient sentinelles chez les Largardes, j'imagine que tu l'as compris. La Quartier Général de la Mafia ce trouve dans la banlieue, pas très loin de l'endroit de la dernière fois. Je peux te montrer où c'est mais ... Pour l'instant je ne crois pas que ça soit une bonne idée. Fleur Rouge a dénoncé ma trahison et je suis toujours recherché par la Mafia, je ne suis pas certain que me jeter dans la gueule du loup soit une très bonne idée. En tout cas c'est un vieux bâtiment désaffecté surveillé par deux vigiles qui ressemble plus à des clodos qu'a autre chose et hum ... Qu'est-ce que tu veux savoir exactement ?"

Elisabeth réfléchit puis répondit:

"Avec ça on va déjà faire pas mal. J'enverrai quelqu'un surveiller le QG pour savoir s'il ne le déménage pas. Pour Fleur Rouge, je ferait des recherches sur ses parents, et après... on verra. Et pour ce qui est de ce qu'on va faire, je pense que le meilleur moyen de se débarrasser de la Mafia est de l'affaiblir en s'attaquant à leurs clients. S'il devient vraiment dangereux de faire une commande, les affaires marcheront beaucoup moins bien. Et si ça paye moins qu'avant, les criminels seront moins tentés de rejoindre l'organisation."

Cela faisait longtemps qu'elle pensait à ce plan mais elle n'avait jamais put le mettre à exécution, la Mafia protégeait trop bien ses clients. À ce moment là un tonnerre d'applaudissements se fit entendre. Elisabeth regarda immédiatement sa montre et dit pour elle-même

"Et merde, ça fait bien trop longtemps que je suis là. J'espère qu'ils n'ont pas remarqué mon absence."

Elle continua pour Vladimir.

"Il y a une sortie de secours au fond du château. Je t’appellerais demain pour qu'on mette en place un plan précis. Au revoir."

Elle sortit et retourna dans la cour. Elle réussit à garder son sourire tout le reste de la soirée, personne ne pensa que c'était l'idée d'enfin avoir un moyen de se débarrasser de la Mafia qui la réjouissait tant.

(on fait quel rp maintenant? on peux faire celui de l'hotel please? on aura qu'à dire qu'il c'est passé du temps entre les deux)