[Clos] je joue avec la vie des gens. Tu veux venir jouer avec moi?? (pv Alizée)

Alizée marchait tranquillement le long de la rue, laissant ses pensés divaguer. Elle était soucieuse et toujours terrifié au souvenir de sa rencontre avec son agresseur. Jamais elle ne pourrait oublier ses mots, son souffle, son comportement enjoué, ses yeux émeraudes brûlant de haine.... Jamais. Elle voulait effacer ces images de son esprit, balayer ses craintes, chassé le mal qui touchait la ville... Que tout redevienne comme autrefois. Autrefois où tout le monde vivait dans la joie et la bonne humeur, autrefois où les agressions étaient rare et les meurtres utopiques. Autrefois, où l'on ne manquait pas de mourir à chaque fois qu'on sortait.
Elle soupira. Cette époque était si loin.
Mais brusquement, une détonation assourdissante retentit, aussitôt répéter plusieurs fois. Un coup de feu. C'était un coup de feu, Alizée le savait. Elle se raidit mais se força tout de même à s'approcher prudemment. Elle se répétait que c'était son devoir d'aller voir, qu'elle était obligé. Mais elle savait qu'elle avait peur, que la situation lui rappelait étrangement son agression et son souvenir la terrifiait. Prenant son courage à deux mains elle jeta un coup d'oeil dans la petite ruelle et elle dû retenir un haut-le-coeur pour ne pas laisser échappé un hoquet de dégoût et de surprise. Une véritable boucherie. Deux corps inertes jonchait le sol et un autre, défiguré, désarticulé, s'était fait tirer dessus tant de fois que la rue toute entière semblait avoir viré au rouge écarlate.
Mais immédiatement, son regard fut attirer par une autre silhouette. Celle du femme. Vraisemblablement c'était elle qui avait tiré. A cet instant, tant de haine et de rancœur saisirent Alizée qu'elle ne put s'empêcher de sortir à découvert, revolver pointé sur la meurtrière.

"Lâchez votre arme sur-le-champs, lança-t-elle, glaciale. Je vous arrête pour assassinat.

Mais l'assurance qu'elle affichait était bel et bien fictive et pouvait se briser d'un instant à l'autre.

[ POUHAAA qu'elle nullité absolue >.< Désolé je suis VRAIMENT pas inspirer du tout avec ce perso >.< Vraiment désoolé, c'est trop trop trop trop trop trop trroooop [...] nul >.<]

A sa plus grand surprise, la femme éclata d'un rire sinistre qui glaça le sang d'Alizée. Son chat lui jeta un regard de reproche, mais lui, resta parfaitement calme.

-T'es bête ou quoi?! C'est pas comme si j'allais lâcher mon arme et t"e suivre gentiment, "banane"

Alizée serra les dents. Qu'est ce qu'elle était sensé faire ? Son adversaire n'était pas le moins du monde impressionné par ses menaces et la peur prenait progressivement son dessus sur l'assurance bancale qu'elle affichait.
Se calmer. Commencer par se calmer. Ce n'était pas le moment de paniquer. Il fallait qu'elle se concentre.

-Hé ! Tu vas rester longtemps comme ça? Mademoiselle "Alizée". Un bien jolie nom pour une gamine ! Lança-t-elle, narquoise.

La fille avait cesser de rire, mais pas une seconde elle ne se répartit du sourire ancré sur son visage.
Se calmer. Se calmer. Se calmer. Etudier la situation. Juste, analyser les choix qu'il lui restait. Elle se mordit la lèvre inférieure. La seule façon de s'en sortir était de commencer par obtenir le respect de son ennemi.
Elle tira juste devant la femme, manquant de près de touché son pied.

" Continue comme ça et ça se finira pas au poste mais en enfer. Et j'espère que t'as compris que j'ai éviter de te touché, là. A moins que tu préfère qu'on en finisse rapidement ? Dans se cas je pourrais peut-être accélérer un peu les choses ...

Elle affichait un air confiant, une voix assurée, elle espérait que cela suffirait à son adversaire.

( Désolé pour ce texte court et archi nul >.<)